Une journée de détresse parmis tant d'autres, mais cette fois-ci avec un arrière goût dans la bouche se demandant ce que nous aurions pu changer afin de remédier à tous les problèmes. Bien sûr, un coup de téléphone pourrait tout régler, mais vaut mieux s'entêter et se frapper la tête à coup de téléphone. Ca serait pourtant si simple, un appel et une réponse franche - pas de détours, juste la vérité. Quant on sait à quoi s'attendre, il arrive parfois qu'on décide de ne plus essayer - les trentes premières fois n'ont pas été avec grand succès et rien ne changera. Le doute. Toujours un doute et un espoir. L'espoir est revenu une fois, mais je doute qu'il revienne encore s'il meurt de nouveau. Sans l'espoir, le doute n'a plus aucun sens et la vie continue son chemin. J'attendrai ton appel, mais qui sait pour combien de temps cette fois? (pensée du 1er septembre 2006 qui renaît)
Mourrir pour de bon, peut-être que demain t'appelera, petit espoir brûlant à sa fin.
mardi 9 octobre 2007
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1 commentaire:
Et dans tout ça on ne se sortira jamais du détour d'une parole, parce que la parole travestit nos pensées. On est condamnés à s'expliquer sans cesse. Parfois se résoudre au silence, laisse le silence parler, est plus réconfortant.
B
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